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La bonne et due forme d’une lettre d’amour

En 2012, j’ai écrit « Je me suis fait larguer ». C’était à l’origine un programme quotidien que l’on recevait par mail, et c’est ensuite devenu un livre édité par Eyrolles. Lors de la promotion de ce livre, j’ai produit beaucoup de contenu pour positionner ce site sur les thématiques de la rupture amoureuse. Il reste quelques exemplaires du bouquin à la vente, mais je ne vends plus le programme. 
Le contenu ci-dessous date de cette époque et génère encore un peu de trafic sur ce site.

Comment je l’ai expliqué précédemment, je suis persuadé qu’un post-it bien placé peut avoir les même vertus qu’une lettre d’amour en bonne et due forme. Cependant, la forme de la lettre peut également faire son petit effet.

Tout d’abord, il faut bien comprendre que la première qualité d’une lettre d’amour, lorsqu’elle est découverte, est de suggérer à son destinataire que l’auteur a :

  1. Eu des pensées pour le/la destinataire
  2. Ces pensées ont été suffisamment émouvantes pour pousser l’auteur à écrire une lettre

70% du boulot est fait. Mais là où un post-it se contente de capitaliser sur ces deux principes, le fait d’écrire une lettre rajoute un supplément d’âme à l’opération.

Une erreur serait donc d’utiliser votre papier à lettre classique. Pire encore, une feuille A4 piquée dans la photocopieuse. Le simple fait de choisir un papier, une forme d’enveloppe, rajoute à l’expérience de votre destinataire.

Enfin, si vous n’écrivez pas régulièrement à la main — comme 95% des gens en 2014 — entrainez vous avant, ça serait dommage de changer d’écriture entre le début et la fin de la  lettre.

PS : J’ai personnellement une préférence pour le Mohawk Superfine (un peu dur à trouver en France) et les petites enveloppes de l’Ecritoire à Paris.

PPS : Souvenez-vous, pas trop longue, la lettre : Less is more

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